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Jérémie Mercier

Il s’appelle Jérémie Mercier, Il est père de 2 filles de 9 et 13 ans, il a 41 ans et est éducateur en santé et chercheur indépendant.

Il est le mari de Flora Douville, créatrice de la Méta®.

Il est « Covid-exilé » avec sa famille à Tallinn, en Estonie, depuis fin octobre 2020 (il avait été prévenu 1 mois à l’avance de la date précise du 2ème « confinement » en France).

Scientifique de formation, il s’est intéressé aux approches « alternatives » efficaces de retour à la santé, en faisant ses recherches sur 3 continents.

Sa mission :

Faire connaître au plus grand nombre des stratégies simples, naturelles et efficaces pour permettre à chacun de redevenir maître de sa santé.

Quelques mots sur son parcours

Qu’est-ce qui l’a amené à envisager la santé différemment ?

Fils d’infirmière et petit-fils de pharmaciens, il a découvert très tôt et avec stupéfaction les limites de la médecine moderne : ablation des végétations puis des amygdales pendant l’enfance, déchirure du tympan par « erreur » par un ORL à l’âge de 9 ans, 3 opérations du nez suite à une fracture en 1998… il a dû dire aux chirurgiens qu’on arrêtait les frais sinon, il y serait encore aujourd’hui ! (edit : dernières opérations de rattrapage » en 2019 et 2020, à peine plus concluantes…)

Puis apparition d’un énorme kyste sur le lobe de l’oreille suite à une antibiothérapie en 2006 : cet épisode est la dernière fois qu’il a pris des médicaments —et il ne s’en porte que mieux !

D’abord des études académiques

Scientifique dans l’âme et animé par la recherche de l’excellence, Jérémie fait une prépa physique-chimie PCSI-PC* (maths sup/maths spé) au lycée Henri Poincaré de Nancy avant d’intégrer la prestigieuse École Normale Supérieure de Lyon (ENS Lyon) en 2002 en tant que normalien en chimie, puis l’École des Ponts et Chaussées (ENPC) et l’École Nationale du Génie Rural, des Eaux et des Forêts (ENGREF).

Grand voyageur et avide de découvrir le monde, il choisit durant ses longues études de faire un échange d’un an au Canada (McMaster University), de faire des stages dans des laboratoires de chimie en Suisse (UNIGE) et en Finlande (Oulu University) puis d’autres stages dans deux agences des Nations Unies (au siège de l’UN-ESCWA à Beyrouth, et au siège mondial de l’UNESCO à Paris).

Il a enfin terminé ses études par un doctorat (PhD) en recherche environnementale à l’Imperial College de Londres, l’une des universités les plus « réputées » au monde (vous pouvez lire sa thèse, en anglais, ici si vous en avez le courage !).

Il est donc « docteur », mais ça n’a rien à voir avec médecin ! il a mis les points sur les i dans cet article sur mon blog, qui a fait beaucoup réagir —y compris le célèbre philosophe Edgar Morin 🙂

Une déception

Jérémie découvre pendant son parcours académique la surprenante étroitesse d’esprit et la rigidité de nombreux « scientifiques », qui raisonnent de façon trop cloisonnée et avec beaucoup trop d’aprioris et de « cro

yances » de départ fausses (ce n’est pas sa vision de la Science !).

Il a aussi découvert pendant sa thèse l’ampleur des dégâts environnementaux générés par l’élevage animal (au-delà de tout ce qu’il imaginait), ce qui l’a amené à revoir en profondeur son alimentation.

Enfin, il a découvert à quel point il est difficile en tant que chercheur de faire un travail de recherche objectif et pertinent quand le financeur du travail a intérêt à ce que les conclusions du projet de recherche aillent dans un sens bien précis (qui l’arrange en général !). Le financeur cherche ainsi souvent à réduire le rôle du chercheur à celui d’un simple consultant et à donner aux rapports et articles écrits par ce chercheur devenu consultant l’apparence de la science objective, ce qu’elle n’est plus.

C’est ce qui l’a fait quitter le monde de la recherche en 2011 à la fin de sa thèse. Il a ensuite travaillé pendant 9 mois en tant qu’ingénieur-chercheur dans une grande entreprise en région parisienne (le CEA – Commissariat à l’Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives). Le management pyramidal y était tellement écrasant et le harcèlement au travail tellement présent qu’il a préféré quitter son poste avant la fin de son contrat pour enfin se consacrer au sujet qui le passionnait depuis déjà quelques années et qu’il avait étudié jusqu’à présent de manière majoritairement autodidacte : la santé et le bien-être avec une approche « holistique » (globale).

La suite : changement d’univers !

Ses premières compréhensions en santé « holistique » ont été faites entre 2010 et 2013 avec l’aide de Christian Tal Schaller, médecin franco-suisse original et pionnier de ce domaine en Europe, qui lui a transmis ses connaissances au cours de formations individualisées et sur mesure uniques en leur genre. Puis il a passé près de 3 mois au célèbre Institut Hippocrate de West Palm Beach (Floride) au printemps 2013 afin de tester la cure Hippocrate sur lui, suivre la formation de Health Educator et rencontrer des curistes venus du monde entier pour se soigner ou juste prendre soin d’eux. Il a par la suite suivi diverses formations, notamment en irrigation du côlonmicro-nutritionoligothérapie, etc.

Entre 2014 et 2016, il a été directeur-fondateur du centre le Phoenix, à Nantes, où ses spécialités étaient le conseil en alimentation saine et l’irrigation du côlon. Ils disposaient aussi de 2 cabines de saunas à infrarouges dans le centre (il recommande chaudement le sauna à infrarouges, sans jeu de mots !).

Et maintenant ?

Depuis 2016, il crée et anime des programmes en ligne à destinations des personnes motivées qui veulent garder ou retrouver la pleine santé, pour longtemps, grâce aux dernières connaissances scientifiques concernant le lien entre l’alimentation et la santé, grâce à des pratiques quotidiennes d’ « hygiène émotionnelle », grâce à des techniques de santé naturelle efficaces.

Il est auteur de 2 livres sortis en janvier 2018 : 
– L’hygiène émotionnelle – le chaînon manquant de votre épanouissement
– J’arrête de creuser ma tombe avec mes dents – en finir avec les fausses informations alimentation-santé

Il anime des conférences sur ces sujets sur internet lors de sommets en ligne, de webinaires et d’interviews. Il lui arrive aussi de faire de temps en temps (plus rarement depuis 2020 et l’arnaque « Khauvide » !) des conférences lors d’événements en présentiel.

Il aime aussi jouer en quelque sorte le rôle de « lanceur d’alerte » en allant au-delà des nombreuses croyances encore en cours dans le monde de la santé et creuser des sujets controversés, comme l’intérêt ou non du dépistage du cancer du sein et de la prostate, ou encore mettre en lumière des approches naturelles efficaces et pourtant discréditées de traitement et de prévention du paludisme.

Il est aussi très mobilisé depuis début 2020 pour dénoncer et démontrer la supercherie « Khauvide » et notamment l’intérêt des mesures présentées comme « sanitaires » pour juguler la supposée « pandémie de Covid-19 ». À ce titre, il anime à peu près 1 fois tous les 15 jours l’émission « Science en Conscience » (initialement pour le collectif RéinfoCovid) et il a écrit plusieurs articles avec Marine Baudin et Denis Rancourt dénonçant preuves à l’appui la grotesque propagande « Khauvide » (articles visible sur cette page).

Enfin, sa grande joie, c’est d’avoir un travail qui lui permet d’aider de nombreuses personnes à reprendre leur pouvoir sur leur santé, grâce à des approches logiques, naturelles, et efficaces. Vous pouvez lire quelques uns de leurs témoignages sur cette page.

 


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